Les SHADOKS !

Les Shadoks ont partagé les Français lorsqu’ils sont apparus.
Continuent-ils aujourd’hui ?


"Et les Shadoks pompaient. Et plus ils pompaient, et plus il ne se passait rien..."

ça parait tellement débile !! Alors qu'en fait c'est très profond au 2ème, 3ème, voire 4ème dregré ! Très politique en fait.

Ce que vous n’avez jamais voulu savoir sur les Shadoks. ( humour shadok ! )
Les Shadoks avaient un cerveau composé de 4 cases.
Ce qui ne les empêchait pas de réfléchir…enfin presque.
Accrochez vous, c'est déjanté !


COURS DE LOGIQUE SHADOK par le Professeur Shadoko : LES PASSOIRES

On appelle passoire tout instrument sur lequel on peut définir trois sous-ensembles: l'intérieur, l'extérieur et les trous.



L'intérieur est généralement placé au-dessus de l'extérieur et se compose le plus souvent de nouilles et d'eau.


Les trous ne sont pas importants. En effet, une expérience simple permet de se rendre compte que l'on ne change pas notablement les qualités de l'instrument en réduisant de moitié le nombre des trous, puis en réduisant cette moitié de moitié... etc... etc... et à la limite jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de trous du tout. D'où THEOREME:



On appelle passoires du Premier Ordre les passoires qui ne laissent passer NI les nouilles NI l'eau.
On appelle passoires du Second Ordre les passoires qui laissent passer ET les nouilles ET l'eau




On appelle passoires du Troisième Ordre, ou passoires complexes, les passoires qui laissent passer quelquefois l'un ou l'autre et quelquefois pas.

Pour qu'une passoire complexe laisse passer l'eau et pas les nouilles, il faut et il suffit que le diamètre des trous soit notablement inférieur au diamètre des nouilles.




Pour qu'une passoire complexe laisse passer les nouilles et pas l'eau, il faut et il suffit que le diamètre des trous soit notablement inférieur au diamètre de l'eau.



C’EST TOUT POUR AUJOURD’HUI !!


Les Shadoks comptaient et connaissaient la géométrie
Mais on va s’arrêter là pour ne pas faire exploser nos 4 neurones !

Quel plaisir de se replonger dans le passé, et ces 2 minutes par jour qu'on pleurait lorsqu'on les ratait.