QUE C'EST BEAU LA BELLE DANS LE BOIS DE VINCENNES!
Après les feux des justes révoltes , ce sont les grillages qui tombent.
Quant au CRA "victime d'unn incendie criminel" , le choix de mots..." les
retenus protestaient
Contre leurs conditions de rétention" et Le choc des images !
Justes révoltes contre les rafles, violence des séparations et vies
brisées, et la mort toujours restée sans réponse et jamais élucidée d'un
des leur la veille.
FERMETURE DE TOUS LES CRA
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/double-evasion-au-centre-de-retenti
on-de-vincennes-03-09-2009-626542.php
Au moins deux étrangers, un Egyptien et un Tunisien, retenus au centre de
rétention de Vincennes (Paris XIIe), se sont évadés dans la nuit de mercredi
à jeudi. Une troisième personne, de nationalité marocaine, qui avait tenté
elle aussi de prendre la fuite, a été rattrapée. Selon la Cimade: «elle
s'est blessée à la cheville et a dû être conduite à l'hôpital».
Pour s'échapper, les trois hommes ont d'abord arraché le grillage d'une
fenêtre puis, modifiant le champ d'observation d'une caméra en secouant le
poteau où elle était accrochée, ils ont escaladé la clôture. Le 22 juin
2008, le centre de rétention de Vincennes avait été victime d'un incendie
criminel. Les personnes retenues protestaient contre leurs conditions de
rétention.
ÉVASION
Deux étrangers s'échappent d'un centre de rétention AFP
Un Egyptien et un Marocain ont réussi à s'échapper du centre de rétention
administrative de Vincennes © PHOTOPQR/LE PARISIEN Deux étrangers se sont
échappés du centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes dans la
nuit de mercredi à jeudi. "Un Égyptien et un Marocain sont partis au petit
matin et sont toujours en fuite", a précisé Julie Chansel, une responsable
de la communication de la Cimade, seule association habilitée à intervenir
dans les centres de rétention. "Un second Égyptien a été rattrapé et emmené
à l'hôpital Hôtel-Dieu", a-t-elle indiqué, sans être en mesure de préciser
les raisons de son hospitalisation..
Selon elle, les trois hommes auraient détourné en fin de nuit les caméras de
surveillance avant de forcer les grillages des fenêtres du bâtiment du
centre de rétention administrative, qui a rouvert fin 2008 après avoir été
incendié par ses occupants