Le prince Guéant :
En août la croisade de Guéant n'a pas de limite : les étrangers en situation
régulière avec
leur autorisation de travail ont tous "vocation à partir". La France n'a pas
besoin de travailleurs "étrangers".
C'est la circulaire du 30 aout 2011 , xénophobe, basée sur la préférence
nationale : réduisant aussi les métiers "autorisés" pour les extra
communautaires de 30, à 15.
On opposait déjà la situation de l'emploi sur chaque région : maintenant
Guéant va plus loin : il LICENCIE!
Un ingénieur Libanais à Grenoble, en est la victime .
Il a fait toutes ses études en France : frais d'études lourds à sa charge.
Son travail, ses compétences , les années de présence en France, sont
balayés par une circulaire raciste autorisant le licenciement PAR LE PREFET
lui même auprès de son employeur!
Motif " des ingénieurs sur la région de Grenoble sont au chômage" :
dégagez ce Libanais et tout autre étrange étranger qui voudrait se prévaloir
d'une carte de séjour et de son autorisation de travail, comme nos textes et
codes de loi le prévoient.
La préfecture de Grenoble, vient d'appliquer cette CIRCULAIRE A LA
PREFERENCE NATIONALE, violant le code du travail : discrimination à
l'embauche et licenciement pour cause d'origine raciale.
( espérons que des avocats se saisiront de ce licenciement , pour enfin
attaquer et exiger l'abrobation de cette circulaire raciste et discriminante
)
Cette Circulaire du 30 aout qui n'a pas valeur de loi, mais reste " hors la
loi" comme son auteur , et viole tant le code du travail et le droit au
travail et la constitution)
Ce repli identitaire , populiste est annonciateur de la chute de ce
gouvernement impliqué dans les plus gros scandales financiers, dont les 3
ministres de l'immigration et de l'intérieur ,BESSON HORTEFEUX GUEANT,Guéant
le Monsieur Afrique V.R.P. en tout genre, sont tous trois passibles de
prison pour prise illégale d'intérêts, détournement de fonds et biens
publics, vente d'armes.
Il est temps de licencier GUEANT et d'exiger la réintégration de tousTES les
personnes licenciéES pour fait du prince : la préférence nationale qu'il
décrète, sans vote ni consultation.