ChienG, si tu l'as déjà mis quelque part, excuse-moi, tu le supprimes...
Sarkozy a "fait un rêve"... pour les peuples méditerranéens
Sarkozy a "fait un rêve"... pour les peuples méditerranéens
Sarkozy a "fait un rêve"... pour les peuples méditerranéens
25 avril 2008, 22:01, Les Mots ont un Sens
http://www.lesmotsontunsens.com/sarkozy-a-fait-un-reve-pour-les-peuples-mediterraneens-imaginatifs-courageux
rkozy à Monaco : j'ai fait un rêve que les peuples méditerranéens
soient imaginatifs et courageux. Sarkozy Monaco a fait un rêve
peuples méditerranée imaginatifs courageux. Sarkozy a "fait un
rêve"... pour les peuples méditerranéens - blog politique
Vendredi, à Monaco, Sarkozy a pris la plus belle voix d'un Martin
Luther King enflammé, pour s'exclamer : "J'ai fait un rêve, c'est
que les peuples de la Méditerranée du Nord comme du Sud soient
aussi imaginatifs et courageux que les peuples d'Europe
continentale". Merci pour eux !
Sarkozy j'ai fait un rêve
En Afrique, la plume qui a servi à cracher la rancoeur de peuples
blessés par le discours de Dakar est à peine sèche, que Nicolas
Sarkozy secoue à nouveau l'encrier. « J'ai fait un rêve, c'est que
les peuples de la Méditerranée du Nord comme du Sud soient aussi
imaginatifs et courageux que les peuples d'Europe continentale »
a-t-il clamé à la sortie d'une réunion sur le développement
durable, co-présidée avec le Prince Albert II. Sous-entendant de
façon presque vulgaire que les peuples méditerranéens ont du pain
sur la planche pour rattraper leurs tares intellectuelles et
morales vis-à-vis des peuples de l'Union Européenne. Au moins
cette fois-ci a-t-il eu la délicatesse de préciser « du Nord comme
du Sud »... On pourrait presque croire qu'il y inclut le peuple
Français ? Mais non, car juste après, il enchaîne en leur
demandant de prendre exemple sur la France qui a su se réconcilier
avec son voisin allemand, après la deuxième guerre mondiale.
Du Martin Luther King à l'état pur... I have a dream.
Rappel du moment fort du désormais fameux discours de Dakar : « Le
drame de l'Afrique, c'est que l'homme africain n'est pas assez
entré dans l'histoire. Le paysan africain, qui depuis des
millénaires, vit avec les saisons, dont l'idéal de vie est d'être
en harmonie avec la nature, ne connaît que l'éternel
recommencement du temps rythmé par la répétition sans fin des
mêmes gestes et des mêmes paroles. Dans cet imaginaire où tout
recommence toujours, il n'y a de place ni pour l'aventure humaine
ni pour l'idée de progrès. Dans cet univers où la nature commande
tout, [...] l'homme reste immobile au milieu d'un ordre immuable
où tout semble être écrit d'avance. Jamais l'homme ne s'élance
vers l'avenir. Jamais il ne lui vient à l'idée de sortir de la
répétition pour s'inventer un destin ».
La chaleur, le rythme des saisons, l'immobilité, l'immobilisme...
Martin Luther n'aurait pas fait mieux. Peut-être aurait-il
seulement ajouté que, au moins, l'Africain court vite, et qu'il a
le rythme dans la peau... Les mots ont un sens...