encore une fois, vive la FIDL....

Citation :

Putin mais dans quel monde on VIE?!!!

Je vous présente la mignone présidente d'un des 2 syndicats lycéens: la FIDL!

Après plusieurs mois de lutte et d'appel à la manifestation, la FIDL décide, après de " mystérieuses " négociations avec Mr DARCOS, d'arrêter le mouvement lycéen... Pourtant LE PROBLEME EST TOUJOURS LE MEME!!! On a récupérer que des miettes de nos heures volées! Nos options sont toujours en voie de disparition! Et ne soyons pas niais face aux paroles de notre putin d'ministre de l'éducation: Cette réforme n'est pas Qualitative!!! CETTE REFORME TUE L'EDUCATION!

La FIDL qui est un SYNDICAT LYCEEN (=> Donc lutte pour le BIEN et L'INTERET des lycéens! ) s'en arrête donc là... Mais j'aimerais éclaircir les raisons de ce ridicule et honteux choix:

OFFICIELLEMENT: La FIDL a demandé l'apparition " d'assistants pédagogique " comme si, nous, lycéens, nous luttions pour ça!... Un assistant pédagogique est similaire à un surveillant qui à la capacité d'aider les élèves en difficultés. Dans le fond c'est une bonne idée! Mais cela ne permet pas l'amélioration de la qualité d'enseignement!!!

Faut-il faire en sorte que les élèves soient en difficultés pour ensuite les aider à tenter de rattraper leur retard... Ou faut-il améliorer la qualité d'enseignement pour réduire le nombre d'élève en difficulté, et pourquoi pas ENSUITE donner de l'aide à ceux qui restent en difficulté?!


La FIDL a choisit de traiter la CONSEQUENCE plutôt que la CAUSE! ( A mon goût on devrait traiter les deux d'ailleur! ) mais le PIRE dans l'histoire c'est que ce syndicat à la con c'est porté porte parole DES LYCEENS!!!
QUAND est-ce que dans les manifestations il y avait marqué sur les pancartes: "On veut des assistants pédagogiques! " C'est n'importe quoi, quasiment aucun lycéen ne savait ce que c'était, avant d'avoir lu cet article!

Levez les yeux, levez le voile, la manipulation ne vient pas des professeurs... Mais du GOUVERNEMENT!!!


OFFICIEUSEMENT: La FIDL à négociée la fin du mouvement avec le gouvernement pour on ne sait trop quelle contre-partie, mais nous savons tous que l'argent dirige le monde à cette époque!...

Vous l'aurez donc bien compris, quelques soient les arguments des membres de la FIDL, CE SONT DES VENDUS!!!

Cette même proposition vislarde à aussi été faite à l'UNL ( l'autre syndicat des lycéens ) et celui-ci à vu clair dans le yeux du gouvernement, Celui-ci ne s'est pas permis d'un abus de pouvoir! Et reste maintenant l'unique porte parole des Lycéens face au gouvernement.

Si j'ai un conseil maintenant à donner: C'est qu'il ne faut pas s'en arrêter là... Profitons de cette bêtise car si la FIDL parvient à traiter la CONSEQUENCE avec l'aide " d'assistants pédagodiques ", l'UNL lui traitera la qualité de l'enseignement! Alors unissons nous maintenant avec l'UNL pour poursuivre le mouvement en confiance!

La Jeunesse est pleine de ressource, avec même des bâtons dans les roues, si elle s'unit elle parviendra toujours à atteindre son but!

Et ben voilà : vous subissez la même trahison que les étudiants avec Julliard !!

En 68, c'est quand le peuple s'est senti trahi par ses syndicats, que tout a explosé,..... SANS EUX!

Article du 18 avril dernier, qui prouve que cette baisse de bras était prévisible...


Alix Nicolet, discrète égérie des luttes lycéennes


«Le ministre nous reçoit avec tous ses collaborateurs qui nous assènent leurs chiffres pour contrer nos demandes. Mais on se prépare …, et on s'en sort bien», explique Alix Nicolet. Crédits photo : AFP

PORTRAIT - La nouvelle présidente du syndicat lycéen Fidl est en phase d'apprentissage. Conciliante envers son ministre de tutelle, elle se dit en revanche fermement opposée aux suppressions de postes dans l'Éducation nationale.

Une discrète égérie. Les deux mots sont contradictoires. C'est pourtant l'image que dégage Alix Nicolet, la jeune (17 ans, elle est née en 1991) présidente de la Fidl (Fédération indépendante et démocratique lycéenne), deuxième syndicat lycéen derrière l'UNL (Union nationale lycéenne). Egérie d'abord, car fraîchement élue à la tête du syndicat, elle en est la légitime tête d'affiche, au moment même où ses ouailles sont mobilisés contre les suppressions de postes à l'Éducation nationale. Discrète ensuite, car elle est l'antithèse du leader syndical sûr de son fait et un brin arrogant. La faute à son manque d'expérience, sans doute, mais surtout à une posture de travailleuse désintéressée. Une posture qui lui sied sans problème.
Attablée dans un café parisien jouxtant la Place de la République, avant le départ du rassemblement parisien à 14 heures jeudi, cette élève de seconde au lycée Robert Doisneau de Vaulx-en-Velin (Rhône), avoue être « un peu fatiguée » après deux semaines de manifestations. Aux côtés de son amie et collègue de la Fidl, Sonia, venue de Douai, elles ressemblent à n'importe quelles lycéennes de leur âge, portent tenues décontractées et même un piercing pour Alix. Les rassemblements lycéens sont pour elles l'occasion de découvrir la capitale. Alix est hébergée depuis une semaine chez la porte-parole de la Fidl quand, dans le même temps, ses amis lyonnais sont en vacances. «C'est mon rôle», explique-t-elle sans remords. Avant d'ajouter : «à moi de rester ‘accrochée' aux cours».
Fille d'une assistante en communication dans le privé et affirmant ne pas connaitre son père («il est prof de math je crois»), Alix ne présente pas le profil type du jeune militant syndical. «J'ai été sensibilisée aux valeurs de la Fidl pendant le combat contre le CPE. Je me suis retrouvée dans ses valeurs. Je suis de gauche mais je ne revendique aucune appartenance à un parti, ça brouillerait mon message», explique-t-elle de manière un brin contradictoire. Son rôle de présidente ? «Ce n'était pas mon but», explique-t-elle. Elle précise qu'elle ne sera pas tentée par une prolongation. «Si tout se passe bien, je serai en terminale dans deux ans et je ne serai plus lycéenne six mois plus tard. Il faut être lycéen pour représenter les lycéens». Une pique non-dissimulée adressée au président de l'UNL, élu alors qu'il est élève de terminale et risque donc de quitter le lycée en juin prochain.

«Darcos, on a de la chance de l'avoir !»

Le cheval de bataille d'Alix, outre les suppressions de postes sur lesquelles le ministre de l'Éducation nationale n'est pas disposé à revenir, c'est la ghettoïsation de certains lycées. «Les conditions de vie y sont déplorables, c'est pour ça que les banlieues sont particulièrement mobilisées. Quand des jeunes manquent de repères, il faut plus d'adultes autour d'eux et sûrement pas moins».
Quand on lui fait remarquer que Xavier Darcos, qui l'a reçue à deux reprises, pourrait être son grand-père, elle répond astucieusement : «on est lycéens, c'est normal qu'on soit jeunes». Son jeune âge est-il un obstacle à un dialogue franc ? Pas vraiment à en croire la jeune présidente de la Fidl, qui dit respecter l'homme. «Nous ne demanderons pas sa démission et contrairement à d'autres (l'UNL, ndlr), nous n'en appellerons pas au premier ministre. Ce serait consacrer la rupture du dialogue», juge-t-elle sagement. «Darcos est un ancien professeur qui aime l'Education nationale. On a de la chance de l'avoir, il nous prend au sérieux !», explique Alix Nicolet, sans vouloir jouer les flatteurs. «À la sortie de la première réunion, on nous a fait dire que nous étions déçus, c'est faux. Lors de la seconde, le ministre s'est dit ouvert à la discussion sur le thème du baccalauréat professionnel».

«On s'en sort bien»

Pour celle qui discute avec un membre du gouvernement alors même qu'elle n'a pas le droit de vote, les ors des palais ministériels restent impressionnants. «Le ministre nous reçoit avec tous ses collaborateurs qui nous assènent leurs chiffres pour contrer nos demandes. Mais on se prépare …, et on s'en sort bien», explique-t-elle avec une étonnante sérénité. Un discours de conciliation qui n'empêche pas une franche opposition sur les suppressions de poste : «on ne lâchera pas», répète-t-elle à plusieurs reprises.
Quand à la rituelle interrogation des journalistes sur l'analogie avec Mai 68 («c'est ça où une question sur notre légitimité», rigole-t-elle) , Alix la balaie d'un revers de main : «Je crois que ça n'a rien à voir. Ce serait trop beau, ça ne serait pas naturel».

pffff, la honte de la FIDL, enfait faut pas demander ça demission, mais la fermeture de ce syndicat entier

Peut-être ... J'avoue ne pas connaitre son prédécesseur !

pas mieux non plus, de génération en génération ils nous trahissent, vos mieux partir a l'UNL vu comment c'est la fidl

guigui a écrit:

pas mieux non plus, de génération en génération ils nous trahissent, vos mieux partir a l'UNL vu comment c'est la fidl

Elle prépare sa carrière!


Vous n'avez pas besoin des syndicats pour continuer la grève.
Emplifiez le mouvement ils reviendront dedans pour essayer de le récupérer.

t'as l'air de t'y connaitre en syndicalisme ^^.
c'est ce qu'ils ont fait pendant le mouvement, enfin qu'ils ont essayer de faire md.

Le syndicats subissent des pressions de la part des "grands" ; il faut donc parfois outrepasser leurs avis et se démerder sans eux. L'essence même d'une grève ou d'une révolte, c'est l'unité ! T'as les mêmes revendications que ton voisin, bouge avec lui, au lieu de t'embourber dans des pinaillages de partis ou syndicats différents ! Le gouvernement adore quand on s'entretue entre "proches" .

c'est ce qu'on fait, on a une CNL en place, et on va continuer avec ça. lol