Trois salariés licenciés pour avoir refusé de travailler le dimanche

Trois salariés licenciés pour avoir refusé de travailler le dimanche

NOUVELOBS.COM | 11.07.2009

Trois
employés de caisse d'un magasin Dia d'Oyonnax ont été licenciés pour
"insubordination" et "non respect des horaires planifiés". Ils avaient
refusé de travailler le dimanche, invoquant des raisons familiales.

Trois
employés de caisse d'un magasin d'un magasin Dia (ex-ED) situé à
Oyonnax, dans l’Ain, ont été licenciés après avoir refusé de travailler le dimanche, apprend-on par France 2, alors que l'examen du texte sur le travail dominical se poursuit vendredi 10 juillet. Motif avancé : insubordination et non respect des horaires planifiés.
Ces salariés avaient refusé de travailler le dimanche à deux reprises,
invoquant des raisons familiales. Le magasin avance, lui, la convention
collective, qui autorise les magasins d'alimentation à ouvrir un
dimanche sur trois. Et rappelle que les salariés travaillant le
dimanche sont payés 20% de plus.
Interrogée par Libération, Etelvina Fernandes, l'une des employées de caisse licenciées, parle d'une prime de 5,03 euros. " Je leur ai dit que je ne pouvais pas. Ma vie de famille pour 5 euros ?", déclare-t-elle au quotidien.
Les trois salariés ont l'intention de porter plainte aux Prud'hommes pour entrave à la vie familiale



(Nouvelobs.com)

ca commence ...

Avant même que le loi ne soit passée ... imaginons l'avenir !!

Exactement Pierrot : le travail le dimanche existait déjà, mais il était considéré comme un "extra", avec des "bonus" en contrepartie. Sous prétexte d'autoriser quelque chose qui n'est pas interdit, en fait on ne fait que le banaliser. Fini les récups ou la bonif de salaire, vu que désormais dimanche est un jour ouvré !
Les gens qui étaient pour, n'avait sans doute pas pensé à ça, non ?

Tu as raison : les français sont des veaux !

à périgueux, nous savons déjà que nous faisons parti des villes touristiques, grâce à ce cher xavier darcos notre ancien maire

Ben c'est déjà bien d'être parvenu à le virer !!

nous n'avons pas gagné au change

Ne me dis pas que t'as pire que cet abruti ...

et oui ... malheureusement pour nous ...

c'est l'autre Xavier, votre nouveau maire ?

Non ... un Michel Moyran qui n'est pas marrant du tout

Michel Moyrand, seul contre les darcocistes

Par Stéphane Urbajtel, publié le 22/02/2007

Chef de file d'une opposition éteinte, le conseiller régional socialiste est devenu le porte-parole des "anti"

Le ton est incisif,
les arguments étayés par des chiffres précis, les dossiers
indiscutablement épluchés et bûchés. Pas de doute: s'il est un homme
capable de jouer un rôle de contre-pouvoir face au rouleau compresseur
Darcos, c'est Michel Moyrand. Chef de file incontesté d'une opposition
globalement atone, le conseiller régional socialiste est devenu le
porte-parole des "anti". Il "laboure" le terrain avec ferveur, frappe
aux portes, serre des mains. Avec l'ambition de faire entendre une
autre voix.
Pas découragé par sa déculottée sévère des municipales de 2001 - il
s'était incliné dès le premier tour - il est tenace. Mais seul. Seul
pour fustiger les choix politiques de la majorité, qui, à ses yeux,
"favorise" le centre-ville et "délaisse" les quartiers. "Périgueux a un
cœur en pleine forme et des poumons mal en point", dénonce-t-il. Seul
pour s'indigner du "vrai-faux référendum" mené dans le cadre de la
réalisation du projet "Périgueux 2010". "Tout était joué d'avance, on a
simplement fait croire aux gens qu'on allait prendre en compte leur
avis." Seul pour montrer du doigt le "déficit" de Vesunna, le musée
gallo-romain de Périgueux, conçu par le célèbre architecte Jean Nouvel,
ouvert au public depuis 2003, en plein cœur de la cité antique, et
fierté du maire. "160 000 euros de pertes! Ça, il ne vous l'a pas dit,
Xavier Darcos!"
Seul enfin à contester la moralité du maire en rappelant que, au
début des années 1980, le jeune professeur de lettres au lycée
Laure-Gatet de Périgueux, membre de la commission chargée d'élaborer
les sujets du bac, avait été accusé d'avoir favorisé ses élèves en les
faisant travailler, quelques jours avant l'épreuve, sur l'un des thèmes
de l'examen. A l'époque, la justice s'était saisie de l'affaire pour,
au bout de la procédure, prononcer la relaxe de Xavier Darcos. Une
précision que n'apporte pas Michel Moyrand.
Persuadé que les Périgourdins en ont soupé du «darcocisme», plus
combatif que jamais, l'élu socialiste prépare minutieusement les
municipales de 2008. Avec l'intuition que, pour la première fois depuis
trente-cinq ans, Périgueux pourrait basculer à gauche. Il sera le chef
de cette bataille… puisque, pour titiller le pouvoir en place, il n'y
a, aujourd'hui, personne d'autre.

je vois que les articles vont loin ...
en tout cas, comme maire, il ne vaut rien pour Périgueux.
il fait tout le contraire de ce qu'il avait décidé et laisse la ville à l'abandon.
il fait tout et n'importe quoi.

notre Périgueux devient rien...